dimanche 18 mai 2014

Naître pour mourir.

Je n'ai pourtant pas la haine facile, je n'ai jamais eus pour habitude d'haïr les personnes qui pouvaient me faire du mal ça m'a toujours était pratiquement impossible, car cette haine je la réserver pour un homme en particulier, un homme qui pour moi n'avait que de sens le lien du sang. Durant des années j'ai été révolté dans une rébellion totale car je ne comprenais pas ce choix qu'il avait fait plus de 20 ans auparavant. Je trouvais ça horrible ce qu'il avait pus faire subir aux personnes qu'ils auraient dû chérir de tout son âme. Ce nom par lequel je signe tous mes articles relatant de mon cerveau en ébullition je le tiens de cet homme que j'ai toujours trouvé infâme. Je l'ai toujours trouver infâme jusqu'au jour où j'ai compris quand j'avais envoyé cette lettre horrible que j'avais écrite de mon encre bleu de cette plume si innocente il y a de sa plus de 4 ans après avoir attendue, une réponse, un simple mot une simple phrase je n'avais eus aucune réponse, sans doute car j'avais été trop dur comme j'ai toujours étais d'ailleurs. je me souviens encore très bien de ce soir où j'avais délivrer tous ce que je ressentais par rapport à cet homme je me souviens de la musique que j'écoutais de la plume qui était entre mes mains et de me cerveau qui ne contrôlait aucunement ce qui en sortais, j'avais écris deux pages, c'était écrit de la manière qu'une enfant de 14 ans normale aurait pus écrire certes à travers mes mots on en ressentait une colère une rage et de l'incompréhension par rapport au passé mais j'avais sus trouvais les mots parfaits pour faire retranscrire cela, je me souviens au moment où j'ai cacheté cette lettre dire ces mots " j'espère que tu comprendras cette haine que je ressens quand tu la liras." A présent je me sens libérer de toute cette haine qui s’agglutinait en moi, qui m'en faisais perdre parfois la raison. Quand j'ai appris cette nouvelle aujourd’hui j'ai eus un léger élan de tristesse puis que après tout il avait transcrit ce nom à ses enfants et ses petits-enfants (écrire ce terme m'est très difficile car je ne me sens pas comme telle.) par la suite le sentiment de soulagement apparu, je ne pensais pas ressentir cela je ne pensais pas que je me sentirais si bien.. C'est dans un sens si horrible de dire ça.. de dire cette chose si.. comment dire.. si ...FROIDE, mais pourtant c'est le sentiment que j'en garde. Je sais notamment que je ne ressentirais aucun contre-coup sans doute parce que ma relation avec la mort m'est bien particulière sans doute parce que j'ai toujours arboré ça d'une manière que jamais un être-humain de 18 ans l'arborerais. Sans doute aussi parce que cet homme dont j'ai le nom et dont je n'aurais connu que les frasques horriblement épouvantes du passé n'aura été proche de sa petite fille de sang.
Je ne pourrais jamais citer cet homme comme mon grand père, cela m'en est impossible car il ne l'étais pas, ça n'a jamais été lui, mais un autre qui sait remplir ce rôle à merveille, mais j'ai ce lien du sang, ce lien si incassable que je sais que cette période de haine que j'ai ressenti dans le passé restera ancré en moi comme l'ancre d'un bateau s'enfonçant dans l’abîme d'un océan turbulent. L'homme naît pour mourir mais aucun être-humain ne pourra haïr un homme sa vie entière, l'Homme se résout au fait que l'erreur en elle même reste humaine, quand l'Homme comprendra cela il se sentira libérer de toute emprise malsaine. 

Je finirais par ces deux citations qui sont pour moi les plus importantes et celles qui m'ont le plus apportés je les accordent à cet homme... 

" en matière de sentiments le manque de logique est la preuve de la sincérité."-Léon Tolstoï

" chaque famille heureuses se ressemblent, mais chaque familles malheureuses l'est à sa façon." -Léon Tolstoï









à Jean-Pierre Martel. 

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